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The River lads : on a retrouvé les deux 33 tours de 1961 !
dimanche 8 janvier 2017
Les River lads sont un groupe de chanteurs formés par Louis-T. Achille au Park Glee Club dans la seconde moitié des années 1950, et qui ont par la suite volé de leurs propres ailes, comme en témoignent ces deux 33 tours récemment retrouvés.
A ce jour la seule trace de cet enregistrement sur l’Internet se trouvait chez http://www.45toursderockfrancais.net, où est présentée une étiquette dédicacée que nous reproduisons ici :
Les chanteurs et arrangeurs des River lads, non crédités sur les étiquettes, sont Etienne Dailly et Daniel Bernard, le nom des autres interprètes nous est encore inconnu.
Joshua fit the battle of Jericho
Nous remercions vivement le Dr Christian Alessandri, qui a souhaité transmettre à la chorale les disques qu’il avait conservés depuis l’époque. Si vous en savez plus sur l’époque, aidez-nous à retrouver plus d’informations sur cette aventure !
M. Patrick Dansette nous précise que ce sont des disques 33 tours de 17 centimètres, nous corrigeons le titre de l’article.
Messages
1. The River lads : suite de la présentation, 1er février 2020, 15:45, par Etienne Jacque Dailly
LES RIVER LADS
Par Jacques Ancet
Au croisement des deux chorales présentes chaque année à la Fête du Lycée du Parc au début des années 60, celle des negro spirituals, le Park Glee Club, fondée et dirigée par Louis T. Achille et celle de chansons hispaniques, la Peña, fondée et dirigée par Bernard Lesfargues, traducteur et poète occitan puis par l’hispaniste Louis Combet, se forme en 1959 plus ou moins spontanément un petit groupe de six chanteurs intervenant dans les deux langues d’abord, puis de plus en plus spécifiquement dans l’interprétation des negro spirituals. Il est, à l’origine, composé de six membres : trois ténors, Etienne Dailly, Gérard Bastion et Charles Tournoux, deux barytons, le guitariste Daniel Bernard et Jacques Nichil, et une basse, Jacques Ancet. Après l’enregistrement d’un premier disque en mai 1960, et suite au départ de Charles Tournoux et Jacques Nichil, le groupe devient en 1961 un quartet qui prend le nom de « River Lads ».
Les River Lads eurent une carrière brève mais prometteuse : champions du Lyonnais de la chanson 1962, ils donnèrent de nombreux concerts dans la région Rhône-Alpes sans jamais perdre l’esprit du negro-spiritual qu’avait su leur inculquer Louis T. Achille auquel ils restèrent fidèles,avant de se séparer en 1964 pour cause d’études.
Ils sont à l’origine de la création du Quartet de Lyon qui acquit une certaine renommée à la fin des années 60 et au début des années 70, le baryton de ce groupe, Robert Ancet, n’étant autre que le frère de la basse des River Lads, Jacques Ancet.
Discographie
— Disque 33 tours, J B P, 1960.
Rock my soul, Dry bones, Never pass away, Jericho, I want to be ready, When the saints.
— Disque 45 tours, J B P, 1962.
When was Jesus born, Didnt’ rain, Nobody knows, Every time.
— Spécial 33 tours, J B P, Trop tard... ?avec Eric Raymond.
Saint James infirmary, J’ai compris trop tard, coplas, Worried man.
Quelques articles et photos
River Lads 1961. De gauche à droite, Dailly, D. Bernard, Bastion, Ancet
1. Fe ?te du Lyce ?e du Parc, 30 04 1960.De g à d, Bastion, Nichil, D.Bernard, Ancet,Tournoux (masqué),Dailly
2. Enregistrement du premier disque 05 1960, En haut, de g à d, Tournoux, Ancet, Bastion, Nichil, Dailly, D. Bernard
En bas, de g à d, Dailly, Tournoux, D. Bernard, Nichil, Ancet, Bastion
3. Fe ?te du Lyce ?e 1961, en haut, de g à d, Ancet, Dailly, Bastion, D. Bernard.
& chez L.T Achille 1989. En bas, à gauche, sérénade à L.T.Achille à son domicile à Lyon :
De g à d, D.Bernard, Dailly, Bastion, Ancet
En bas, à droite, Sérénade à Mme Achille, de g à d, Ancet, Bastion, Dailly, D. Bernard
5. 1962
6. Champions du Lyonnais de la chanson, 1962
2. The River lads : on a retrouvé les deux 33 tours de 1961 !, 24 juin 2021, 10:01, par Daubard Michel
Bonjour,
ancien du Parc (années 50,60),je retrouve (un peu par hasard) avec plaisir ce groupe
découvert à l’ancienne Fête du Lycée.
L’un des chanteurs (signature ?) n’était il pas Jacques Nichil ou Nischil ?
Bien Cordialement
Michel Daubard